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Le SNPNAC a été invité à cette cérémonie d’anniversaire, ainsi que notre trésorier, membre  de la sécurité civile à DRAGON 13 était présent parmi toutes les autorités préfectorales et direction sécurité civile, pompiers et militaires étaient présents et invités ainsi que les Familles.
Le Vice-Président d’Airbus hélicoptères et équipages des essais vol (ER) étaient également présents et présentaient deux machines récentes que sont le H 160 destiné aux Armées et Gendarmerie et un 225 qui comme l’a promis le GVT équipera la sécurité civile avec 4 exemplaires pour le transport, le secours et bombardier d’eau etc.

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Élection des représentants au conseil d’administration de la CRPNAC (élection des administrateurs représentant les affiliés actifs et pensionnés

ESSAIS RECEPTION : nombre de sièges à pourvoir : 1 titulaire et un suppléant
SNPNAC obtient les postes : GIRARD Ludovic : titulaire – CRAPPIER Nicolas : suppléant
PRIBILSKY Christophe : suppléant complémentaire

TAVAIL AERIEN : nombre de sièges à pourvoir : 1 titulaire et un suppléant
SNPNAC obtient les postes : MAGAR Manot : titulaire – DURAND Eric : suppléant
PERARD Bruno : suppléant complémentaire

Collège Retraités (liste commune Liste pour la défense du pouvoir d’achat des retraités) nombres de sièges à pourvoir : 3 titulaires et 3 suppléants
La liste commune SNPNAC obtient 2 postes : SERRAT Jean et MOUTET Jean-Michel : titulaires
LARGE Philippe et SCALABRINO Bernard : suppléants

Tous les résultats en détail :
suivre le lien

 

 

le 12 avril à Bordeaux

Lors de son déplacement en région bordelaise, le Ministre de l’intérieur a annoncé des mesures concrètes pour éviter que ne se renouvelle le désastre de l’été 2022 alors que la situation, sur le front de la sécheresse, laisse présager une situation aux risques similaires. Un certain nombre d’aéronefs seront donc stationnés autour de la forêt des Landes pour accélérer les interventions. Le ministre en a aussi profité pour valider l’ensemble des solutions préconisées par le SNPNAC pour redonner à l’aviation de la Sécurité Civile tout son allant et son efficacité.

Neuf avions et hélicoptères bombardiers d’eau supplémentaires seront mobilisés en 2023, portant le nombre d’appareils de 38 à 47, ainsi que près de 500 sapeurs-pompiers supplémentaires.

Ce sont des annonces concrètes, nous avons été entendus.

Quatre avions bombardiers d’eau de type Air Tractor et un Dash seront positionnés à Bordeaux à partir du 1er juillet, et un hélicoptère bombardier d’eau à partir du 1er juin. En outre, deux Canadair pourront être positionnés en Gironde 48 heures avant un risque signalé par la nouvelle « météo des forêts ».

Source : infos Grand Cellier feb2023

Selon le ministère des Armées, la Direction générale de l’armement [DGA] vient de réaliser une « première mondiale », dans le cadre de sa stratégie « Climat & Défense », laquelle vise à réduire la dépendance aux énergies fossiles selon le mantra « consommer moins, mieux et sûr ».
Ainsi, le 3 février, la DGA a fait voler un hélicoptère NH-90 TTH de l’Aviation légère de l’armée de Terre [ALAT] avec un « carburant d’aviation durable à 84% », sans apporter la moindre modification à sa motorisation. Ce qui a permis de réduire ses émissions de CO2 de 75%.« C’est la première fois à l’échelle mondiale qu’un hélicoptère militaire a pu voler avec une teneur aussi élevée de carburant d’aviation durable dans l’un de ses deux moteurs », souligne le ministère des Armées.
Dans le détail, le NH-90 TTH de l’ALAT a décollé du centre d’essais en vol d’Istres avec, à son bord, deux pilotes d’essai, un mécanicien navigant d’essai et deux ingénieurs navigant d’essai de DGA « Essais en vol » et du Groupement aéromobilité de la section technique de l’armée de Terre [GAMSTAT].
Ce vol d’essai, qui aura duré trois heures, a été effectué avec le concours du Service de l’énergie opérationnelle [SEO], de Safran Helicopter Engines, de TotalEnergies et d’Airbus Helicopters.

Selon la définition qu’en donne l’Organisation de l’aviation civile internationale [ICAO], pour être « durable », un carburant d’aviation doit être produit à partir de sources autres que le pétrole. Celui qui a été utilisé pour le vol d’essai réalisé par la DGA a été fourni par TotalEnergies, qui l’a fabriqué à partir d’huiles de cuisson usagées selon la technologie HEFA [hydrotraitement des huiles et des graisses].

L’enquête de sécurité

L’enquête de sécurité a pour objet de déterminer les circonstances et les causes d’accidents ou d’incidents aériens graves et, s’il y a lieu d’établir des recommandations de sécurité.

Le BEA-É, un organisme permanent et indépendant

Une alerte est assurée 24h sur 24. Lors de la survenue d’un évènement aérien, l’autorité organique procède à la notification réflexe permettant d’informer le plus rapidement possible le BEA-É. Le directeur classifie l’évènement selon la typologie « accident ou incident aérien grave » et désigne le directeur d’enquête. Ce dernier s’entoure d’experts technique, pilote, mécanicien, médecin et de toute autre spécialité nécessaire à la compréhension de l’évènement.

Le rapport d’enquête de sécurité

Le rapport d’enquête de sécurité du BEA-É a vocation à être rendu public afin de partager les conclusions en toute transparence au sein de la communauté aéronautique. L’objectif de ce rapport, qui préserve l’anonymat, consiste à identifier les causes d’un événement et à formuler, si nécessaire, des recommandations de sécurité.
Conformément à l’article L.1621-3 du code des transports, l’unique objectif de l’enquête de sécurité est la prévention des accidents et incidents sans détermination des fautes ou des responsabilités.
L’établissement des causes n’implique pas la détermination d’une responsabilité administrative civile ou pénale.
Un avertissement rappelle dès les premières pages que toute utilisation totale ou partielle du rapport de sécurité à d’autres fins que son but de sécurité est contraire aux engagements internationaux de la France, à l’esprit des lois et des règlements et relève de la seule responsabilité de son utilisateur.
Le rapport d’enquête est articulé en quatre parties comprenant plusieurs chapitres. Son architecture générale suit la trame définie dans l’annexe 13 de la convention de Chicago, mais sa teneur peut être adaptée en fonction de la compréhension de l’événement analysé et de ses conséquences.

  • La première partie expose l’ensemble des faits relevés, utiles à la compréhension de l’évènement.
  • La seconde expose les résultats des expertises conduites, l’établissement de la séquence de l’événement et l’identification de ses causes certaines ou possibles.
  • La troisième partie expose en conclusion la définition et le mécanisme de l’événement ainsi que les causes retenues et les facteurs qui ont contribué à sa survenue.
  • Enfin, en quatrième partie, le BEA-É formule ses recommandations de sécurité à l’adresse des organismes concernés.